Celle qui reste, c'est une lettre d'amour pour lui, pour son métier, pour toutes ces espèces végétales fragilisées qu'il persiste à vouloir faire rester parmi nous.
Dans les méandres internesques, ou, mon petit répertoire de sources étranges et très ciblées consultées en traduisant The Birth House
Qu’on se le dise : il nous arrive, en traduisant, de lire des choses merveilleusement étranges, de passer des heures sans fin à plonger dans des sources parallèles.
« To the Young Women of Canada » : le recrutement de soldats par les femmes
Depuis quelque jours, je plonge en apnée dans une série interminable d'archives numériques dans l'espoir de trouver un équivalent en français pour une campagne de recrutement menée auprès de jeunes Canadiennes vers la fin de la Première Guerre mondiale. Je suis légèrement obsédée. Cette véritable chasse aux trésors virtuelle a été lancée par une publicité … Lire la suite « To the Young Women of Canada » : le recrutement de soldats par les femmes
Un texte à vingt-six vers
Je ne vous apprends rien, les mots bougent sous ma plume. La structure délicate du poème s'écroule.
Les z’haricots sont trop salés
Un des nombreux beaux défis qui se posent en traduisant tourne autour de l'adaptation de chansons. Pourquoi l'auteure a-t-elle choisi telle référence? C'est la ligne mélodique qui l'a interpellée, le texte lui-même, la période ou le lieu géographique auquel on peut faire un clin d'oeil en l'évoquant? Quand l'auteure que l'on traduit baigne dans l'univers … Lire la suite Les z’haricots sont trop salés